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Le décrochage à l’université est beaucoup plus important chez les étudiants de milieux défavorisés. Le rapport du sénateur UMP de Seine-Saint-Denis fait 70 propositions

15 juin 2011

Le séna­teur UMP de Seine-Saint-Denis, Christian Demuynck, remet aujourd’hui, mardi, à Valérie Pécresse, un rap­port sur le décro­chage à l’université.

Selon les der­nières sta­tis­tiques du minis­tère de l’Enseignement supé­rieur, publiées le mois der­nier, près d’un nou­vel étudiant en pre­mière année de licence (L1) sur quatre (23 %) redouble, le plus sou­vent dans la même spé­cia­lité. 19 % se réorientent et 6 % arrêtent leurs études. Les jeunes de milieux défa­vo­ri­sés sont en outre beau­coup plus nom­breux à décrocher.

Extrait de vousnousils.fr du 15.06.11 : Contre l’échec universitaire

Cependant le rapport Demuynck relève que, pour son taux de décrochage, "la France fait partie des ’bons élèves’ de l’OCDE notamment grâce à la diversité de son système, sa quasi gratuité dans de nombreux cas, son système de bourses, ses possibilités de réorientation des études longues vers les courtes."

 

Rapport Demuynck : Un rempart contre les vrais facteurs de décrochage ?

Remis au ministre de l’enseignement supérieur le 14 juin, le rapport du sénateur UMP Demuynck fait pas moins de 70 propositions sans pour autant aborder les questions qui fâchent... Pire il occulte les vrais problèmes.

L’analyse critique du Café pédagogique

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